Thursday, February 22, 2007

L’INTEGRITE DE NOS HOMMES POLITIQUES

Maurice soumis aux idylles de nos politiciens a chaque evenement de police, se retrouve soit assujettie a l’intimidation de la classe ouvriere ou au chantage des politiciens. A croire que faire de la pression sur un partie pour prevaloir nos droits est presque hereditaire chez les Mauriciens: tantot elle prennent la forme des “sit ins” des ouvriers ou a l’autre bout de l’echelle “la demission”.A noter que la “demission on hold” vient s’ajouter a la kaleidoscope-etant un modele plus moderne de mettre la pression sur nos compatriots, tout en tatant le poul des implications possible que cela puisse engendre. Cela etant dit nous pensons inevitablement a Mr. Sithanen qui se retrouve dans une impasse tres incomfortable suite a l’annonce de sa demission probable.

Les raisons de sa demission sont deja connues : pas de support de son partie et des membres du gouvernement qui durent depuis un certain temps, notamment depuis le budget et pour couronner le tout, la nomination de M. Bheenick comme gouverneur de la Banque de Maurice (BOM). En premier lieu il nous faut comprendre la philosophie d’un partie pour mieux defenir les parametres de leur politique ; mais le probleme est que ce partie n’en a pas ! C’est exactement la ou les choses se complique pour un homme aussi integre et visionaire que Rama Sithanen. Apres la presentation de son budget qui fut grandement critiquer, Rama se retrouve delaisse par ses coequipiers a cause des mesures « impopulaires » dit on. Mais si ils avaient prit le temps de s’accorder sur leur projet d’avenir pour le pays, le partie Social n’aurait jamais attirer autant de parties defficient qui ont comme vision l’appropriation du pouvoir. Ce qui est chagrinant s’est qu’on cherche toujours des mesures populaires au detriment de mesures necessaires qui menent a la regeneration de l’economie. Prenons pour exemple l’arret de l’intervention de l’Etat providence dans les frais de la SC et de la HSC. Il est economiquement sensible de produire des services en faveur des besogneux et de ne plus subventionnes ceux qui sont dans la mesure de s’offrir une education- cela etant aussi appliquable aux autres services de l’Etat. Toute societe capitaliste consentira a reduire les depenses courantes du service publique et de les canaliser vers des depenses infrastructurelles. Malgre le fait que cela est souvent affligeant pour les citoyens mais elles sont des decisions imperatives a la prosperité collective.

Ajouter a toute cet amertume de faire accepter des mesures fiscales penible, Rama se retrouve avec Mr. Bheenick sur le dos. Celui la meme qui aurait détourné une somme magistrale des fonds du gouvernement. Or, le gouvernement ne devrais pas prendre les Mauriciens pour des simples d’esprit, d’oublier les mefaits de « leurs hommes » au prix de mesures puériles et superficielles qui sont mis en force que pour une popularité caduc et transitoire aupres des electeurs. La BOM est l’etablissement central qui gere la fiscalite du pays en entier- Navin a-t-il trouver cela sage de nomine cet homme a la tete de l’administration de cette organisation ? Si tel est le cas, nous pouvons ainsi mesurer la sensibilite de certaines decisions qui ont etaient critiquees dans un passe recent ainsi que dans le futur. Nous acceptons que le pardon et la reforme sont des philosophies reelles, neanmoins en matiere politique le mot « opportunisme » prevale. Pourquoi n’avoir pas essayer de dissocié la competence et l’integrite que necessite ce poste a opportunite que d’avoir « son homme » dans la gestion de cet etablissement clé encore une fois. Pouvons nous garantire une administration competente du pays avec Navin Ramgoolam a la tete du pays ? Nous observons deja sa retissance a rentrer, alors qu’ un pas decisif doit etre prit. Fuire n’est jamais la meilleur solution encore cela il devrait le savoir car la situation ne sera remedier qu’en sa presence. Pense-t-il quand laissant passer un peu de temps Rama reviendra peut etre sur sa decision ? De toute evidence nous ne pouvons juger sa motivation neanmoins le faite reste que la methode dont il va utiliser pourra soit montrer sa finesse ou son incompetence en periode de crise.

Sur une balance purement economique et sensé, qui pesera plus lourd pour Navin Ramgoolam ? Le peuple a peut etre fait son choix, toute fois l’entetement de notre cher « London boy » aura main forte sur tout developement dans cette affaire. Reste a attendre en croisant les doigts pour ne pas perdre un homme integre au prix d’un homme avec un passé douteux.

HANNAH

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